L’Espagne et son lion y figurent naturellement aux côtés de l’Empire et de son aigle. Il est aussi célébré dans la voûte de la Galerie des Glaces sous la forme d’une allégorie dans laquelle l’Espagne, sous les traits d’une femme en manteau rouge, accompagnée du lion héraldique de Castille, s’incline devant la France. Dans le Parc, un bosquet se fait l’écho de cette guerre, celui de l’Arc de Triomphe, où la fontaine dite de La France triomphante, seul vestige de ce bosquet disparu met en scène une allégorie de la France vainqueur de ses ennemis représentés au pied de son char.
Sur la terrasse du Parterre d’eau enfin, au pied de la façade du château, deux vases colossaux rappellent eux aussi les victoires royales : le vase de la Guerre (par Antoine Coysevox) et le vase de la Paix (par Jean-Baptiste Tuby). En 1659, le traité des Pyrénées scelle – provisoirement – la réconciliation des deux pays. Le changement dynastique de 1700 et le conflit général qui s’ensuit met définitivement fin à deux siècles de luttes et crée un nouvel ordre européen. Il ne faut cependant pas présenter les relations franco-espagnoles des XVIIe et XVIIIe siècles en se limitant aux seules relations diplomatiques et aux unions dynastiques. En 1660, le roi d’Espagne, qui s’est remarié avec Marie-Anne d’Autriche, n’a, comme héritier, que l’infant Philippe, né en 1657, dont la santé fragile ne laisse pas présager une longévité bien importante.
Ainsi, s’il existe bien un impôt régional, les Ceutiens et les Mélilliens « ne payent pas de TVA sur les tabacs, les carburants et les combustibles » et bénéficient de nombreuses réductions de taxes. Ainsi, on note, avec la reine Marie-Thérèse, un usage plus important du « carreau », coussin destiné aux dames, largement répandu à la cour de Madrid. « Il n’y a plus de Pyrénées ! Le marquis de Dangeau relate quant à lui que le roi ayant permis à de nombreux seigneurs d’accompagner le nouveau roi pendant son voyage, l’ambassadeur rajouta que ce voyage « devenait aisé et que présentement les Pyrénées étaient fondues ». Aux trophées UNFP du football, l’équipe ayant remporté le titre de meilleur joueur le plus souvent est le Paris Saint-Germain (11 fois). Les collections de Versailles conservent plusieurs témoignages de cet événement, « la plus grande et la plus extraordinaire scène qui se fût jamais passée en Europe » comme l’écrit le marquis de Sourches.
L’image de la disparition des Pyrénées, évoquée quarante-cinq ans plus tôt, est réutilisée sur la scène du théâtre dressé dans le manège de la Grande Écurie pour la représentation de La Princesse de Navarre de Rameau sur un livret de Voltaire. La scène a lieu dans le cabinet du roi (actuel cabinet du Conseil, agrandi sous Louis XV). Selon la tradition, l’échange des princesses a lieu une nouvelle fois sur l’île des Faisans. Ce nouveau maillot est utilisé pour la première fois en mars 1954 contre le Chili avant de devenir iconique. La livraison est effectuée dans les 24 à 72 heures après l’achat. Il n’est donc pas, dans ces conditions, impossible de spéculer sur l’extinction de la dynastie. Mais quatre ans plus tard, le duc de Bourbon, principal ministre de Louis XV, renvoie la petite infante en Espagne, la trouvant trop jeune alors qu’il considère que le jeune roi doit se marier au plus tôt pour assurer la dynastie.
Zeki Çelik a rejoint la capitale romaine pour passer sa visite médicale et parapher un contrat de quatre ans. Six ans après la mort de « l’express de la victoire » (en 2006), Dida tentera de faire de même en déclarant « Il est temps de briser aujourd’hui un tabou qui dure depuis plus de cinquante ans. Au niveau religieux, on estime à plus de 90 % le nombre de catholiques, les 10 % restant se partageant entre autres chrétiens et musulmans. 1) : Le palmarès complet de la compétition est connu et le nombre de trophée est exact. À l’été 2000, Di Meco fait venir le tacticien brésilien Abel Braga connu pour avoir géré les tensions entre Romario et Edmundo. Déjà, des tensions apparaissent, lorsque Louis XIV, après un incident diplomatique mettant aux prises les ambassadeurs de France et d’Espagne à Londres, exige – et obtient – des excuses officielles de la part de Philippe IV, qui reconnaît en outre la préséance des ambassadeurs du Roi Très Chrétien sur les siens dans toutes les cours d’Europe.
L’étiquette versaillaise n’est pas celle de la cour d’Espagne. On le voit également afficher, dans sa jeunesse, un penchant pour la décoration précieuse qui n’échappe pas à ceux qui tiennent pour davantage de sobriété et de grandeur et qui attribuent ce goût à l’influence de la reine-mère. Malgré cela, il n’a pas été appelé. La jeune mariée apporte en outre une espérance d’héritage car son père n’a alors qu’un fils en bas âge pour lui succéder. Dans ce cas, la reine de France aurait, comme sa demi-sœur Marguerite-Thérèse, qui épouse l’empereur Léopold Ier en 1666, des prétentions à faire valoir, d’autant que sa dot de 500 000 écus, censée constituer le prix de sa renonciation à ses droits dynastiques, n’a jamais été versée, rendant cette renonciation nulle et non avenue aux yeux de la France.